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de RIGAL Géraud
    Naissance :
          Date : Estimée à 1300
          Source :
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    Abréviation : 002-Nobiliaire d'Auvergne
    Type :
    Etablissement ou personne dépositaire de l'information :
    Nom : J.B.Bouillet
          Numéro d'identification : T.IV folio 282-283
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    Note :
de RIGAL,seigneurs de Farreyrolles,de Puy-Martin,des Fourches et de Saillans,paroisse de St Remy de Chaudes Aigues.-Géraud de Rigal ou Rigaud,damoiseau,et Léone,sa femme , posséssionnés féodalement à Cros de Montamat , firent foi-hommage au vicomte de Carlat en 1329.
-Guillaume de Rigal, seigneur de Farreyrolles , connu par une transaction du 14 juin 1548 , fut bisaïeul de Pêtre-Jean , de Louis et de Jean de Rigal , frères , coseigneurs de Farreyrolles , de Fourches et de Saillans , maintenus dans leur noblesse en 1666.Eux et leurs successeurs firent foi-hommage au roi en 1669 et 1723.Pêtre-Jean de Rigal avait servi pendant plusieurs campagnes , d'abord en qualité de lieutenant au régiment d'Urfé , et ensuite comme volontaire à ses frais , à l'armée du Roussilon , sous Henri II de Bourbon-Malauze , suivant les certificats de 1637 et 1639.-
Jean-Baptiste de Rigal , né le 6 décembre 1686 , entra au service dans le régiment de la couronne en 1706 , y fut lieutenant en 1707 , capitaine en 1712 , chevalier de St-Louis en 1715 , capitaine de grenadiers en 1735 , commandant de bataillon en novembre 1740 , lieutenant-colonel en juillet 1744 , brigadier d'armée en mars 1747 , et maréchal de camp en 1758.- M.de Rigal de Puy-Martin fut convoqué à l'assemblée des nobles du baillage de St-Flour en 1789.
-Lors de la maintenue de 1666 , cette famille avait des alliances avec les maisons d'Aldebert , de Séveyrac et d'Apchier
(1).ARMOIRIES:-Parti:au 1er d'azur , à la fasce d'or , chargée d'une canette (ou merlette) de sable becquée et membrée de gueules; au 2ème les armes de la maison d'Apchier : d'or , au chateau sommé de trois tours de gueules , maçonné , ajouré et coulissé de sable ; à la tour du milieu plus élevée et accostée de deux hallebardes d'azur.
(voyez pl.12 fig 6)
(1)Noms féodaux,p. 812,813.- Preuves de 1666.- Recueil de l'ordre de St Louis ,t II p 97.- Chabrol t IV p 833
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    Evénement de :
          Date : 1329 (29 ans)
          Lieu : France - 15 Cantal - Carlat,15130,Auvergne
          Source :
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    Abréviation : 002-Nobiliaire d'Auvergne
    Type :
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    Nom : J.B.Bouillet
          Numéro d'identification : T.IV folio 282-283
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    Note :
de RIGAL,seigneurs de Farreyrolles,de Puy-Martin,des Fourches et de Saillans,paroisse de St Remy de Chaudes Aigues.-Géraud de Rigal ou Rigaud,damoiseau,et Léone,sa femme , posséssionnés féodalement à Cros de Montamat , firent foi-hommage au vicomte de Carlat en 1329.
-Guillaume de Rigal, seigneur de Farreyrolles , connu par une transaction du 14 juin 1548 , fut bisaïeul de Pêtre-Jean , de Louis et de Jean de Rigal , frères , coseigneurs de Farreyrolles , de Fourches et de Saillans , maintenus dans leur noblesse en 1666.Eux et leurs successeurs firent foi-hommage au roi en 1669 et 1723.Pêtre-Jean de Rigal avait servi pendant plusieurs campagnes , d'abord en qualité de lieutenant au régiment d'Urfé , et ensuite comme volontaire à ses frais , à l'armée du Roussilon , sous Henri II de Bourbon-Malauze , suivant les certificats de 1637 et 1639.-
Jean-Baptiste de Rigal , né le 6 décembre 1686 , entra au service dans le régiment de la couronne en 1706 , y fut lieutenant en 1707 , capitaine en 1712 , chevalier de St-Louis en 1715 , capitaine de grenadiers en 1735 , commandant de bataillon en novembre 1740 , lieutenant-colonel en juillet 1744 , brigadier d'armée en mars 1747 , et maréchal de camp en 1758.- M.de Rigal de Puy-Martin fut convoqué à l'assemblée des nobles du baillage de St-Flour en 1789.
-Lors de la maintenue de 1666 , cette famille avait des alliances avec les maisons d'Aldebert , de Séveyrac et d'Apchier
(1).ARMOIRIES:-Parti:au 1er d'azur , à la fasce d'or , chargée d'une canette (ou merlette) de sable becquée et membrée de gueules; au 2ème les armes de la maison d'Apchier : d'or , au chateau sommé de trois tours de gueules , maçonné , ajouré et coulissé de sable ; à la tour du milieu plus élevée et accostée de deux hallebardes d'azur.
(voyez pl.12 fig 6)
(1)Noms féodaux,p. 812,813.- Preuves de 1666.- Recueil de l'ordre de St Louis ,t II p 97.- Chabrol t IV p 833
                Page :
Foi et hommage au Vicomte de Carlat en 1329
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          Source :
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    Titre : Nobiliaire
    Abréviation : 012-Les Noms Féodeaux
    Type : Deed
    Etablissement ou personne dépositaire de l'information :
    Nom : P.J.B. de Bétencourt
          Numéro d'identification : Sans P 812 et 813
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    Note :
p812: RIGAL (pierre-Jean de ) ; Louis et Jean de Rigal , écuyers , frères , héritiers les uns des autres . T. s. de Farreyrolles ; ens. les vill. des Fourches et Salians , par. de St Remy , Elec. de St Flour : Murat , 1669 ad 1723 . (r.477 , p.1 ; r. 499 , p.150 ; r.503 ,p.229,531 ; r.508 ,p.110,113.)
p813: RIGAUD (Gérald) , Dam.,et Lione , sa Fe . Le mas de Montame , Monte amato , et généralement tout ce qu'ils tiennent en la par. de Cros ; ens. le bois de la Bocarde , cens et rentes: Carlat , 1329. (r.473 , p.117.)
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          Source :
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    Titre : Revue des Vieilles Maisons Françaises
    Abréviation : 171- Article sur l'historique de Farreyrolles
    Type : Deed
    Etablissement ou personne dépositaire de l'information :
    Nom : Louis Sarrauste de Menthière
          Numéro d'identification : F° 1 & 2
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    Note :
Le château de Farreyrolles est situé dans la commune de St-Rémy-de-Chaudes-Aigues , à plus de 1000 mètres d'altitude . le ruisseau qui traverse le chef-lieu , avant de se jeter dans la rivière du Bès , a pris sa source tout à côté dans la Sagne de l'Ours , au pied du bois du Loup.
Si cette commune est petite , elle est fort ancienne puisqu'elle avait , dès 1095 , un prieur qui appartenait à la puissante famille de la Roche-Canillac dont l'origine se situe dans le village de ce nom en cette même paroisse de St-Rémy.
XIIIe siècle: Farreyrolles est un lieu ancien , lui aussi , puisque le "mansus de Ferrairolas est connu dès 1249.
XIVe-XVe siècles: Mais hélas nous ignorons tout de son histoire pendant trois siècles ; C'est d'autant plus regrettable qu'elle a dû être mouvementée . En 1387 en effet , les Anglais prenaient le château voisin de La Roche-Canillac et l'on sait combien d'incendies , de pillages et de meurtres souffrirent les populations de cette région , pendant l'occupation des Anglais et celle des grandes compagnies qui leur succédèrent .
XVIe-XVIIe siècles: Tout ce qui est sûr c'est qu'en 1548 , Guillaume de RIGAL était seigneur de Farreyrolles . Sa famille y demeura un peu plus de deux siècles . Les RIGAL venaient vraisemblablement de Cros-de-Montamat où un Géraud fait foi et hommage au Vicomte de Carlat en 1329 . Ils appartenaient à la noblesse et ils furent reconnus comme tels en 1666 en la personne de Pètre-Jean de RIGAL , écuyer , sieur de Farreyrolles , fils de Gabriel et de Demoiselle gabrielle d'Apchier.
Fiers de cette alliance qui les apparentait aux plus anciennes et plus puissantes familles du pays , ils joignirent les armoiries des Apchier aux leurs qui étaient: "d'azur , à la fasce d'or , chargée d'une canette ou merlette de sable , becquée et membrée de gueules ." Mais cette noblesse entraînait des devoirs et Pètre-Jean servit pendant plusieurs campagnes d'abord en qualité de lieutenant au égiment d'Urfé et ensuite comme volontaire , à ses frais , dans l'armée de Roussillon sous Henri de Bourbon-Malauze , baron de Chaudes-Aigues.
XVIIIe siècle: Un certain nombre de RIGAL suivirent la carrière des armes: le nobiliaire d'Auvergne cite Jean-Baptiste , né en 1686 qui , après une longue et brillante carrière , devint en 1758 maréchal de camp (qui correspond aujourd'hui à général de brigade). C'est une illustration dont une famille peut être justement fière .
Nous avons noté un Pierre-Jean portant le même prénomque son père et que son frère aîné et peut-être pour cela appelé le chevalier de Peuchmartin . Il avait gagné sur les champs de bataille ses galons de capitaine et la croix de Saint-Louis ; puis il s'était retiré à la Roche-canillac . Nous l'y voyons se marier le 4 février 1736 , à la soixantaine bien sonnée , semble-t-il , et sa signature tremblée le confirme . Avec la permission de Monseigneur l'evêque de St-Flour pour une seule publication et pour que la cérémonie ait lieu hors du temps de la messe et dans .une chambre , le vieux soldat épouse une demoiselle Françoise Abriol , agée de 33 ans , qui avoue ne savoir signer devant témoins qui ne portent pas les noms des deux familles . Les nouveaux époux déclarent vouloir légitimer un fils qui leur était né . Deux ou trois autres naîtront encore mais le chevalier de Peuchmartin décédera dès 1742.
Ce sera très certainement à cette branche que se rattachera Monsieur de RIGAL de PEUCH-MARTIN qui fut convoqué à l'assemblée des nobles du baillage de St-Flour en 1789.
Dans ces temps , les familles étaient nombreuses et les fortunes avaient tendance à s'amenuiser vite avec les parts des cadets et les dots des filles .
En cette première moitié du XVIIIe siècle , les deux Pierre-Jean de RIGAL qui se succédèrent à Farreyrolles , eurent de leurs épouses bourgeoises au moins sept enfants (vers 1690 , Françoise Recorderc , de Murat ; vers 1725 , Delphine Roquier - un Roquier se dit seigneur de la Valette en Lozère).
Manifestement le gêne allait croissant.A la dernière génération , le mauvais sort semble tomber sur Farreyrolles : la mère décède un an à peine après la dernière des naissances qui s'échelonnent sur vingt-quatre ans ; le père nous paraît quelque peu orgueilleux et égoïste et sans doute paresseux et incapable. Ce ne sont pas là de bonnes conditions pour que des enfants grandissent dans la joie et s'épanouissent heureusement dans la vie . L'aîné est un garçon qui mourra avant de connaître la dernière de ses six soeurs . De celles-ci , l'une meurt jeune aussi et sans alliance , deux font de piètres mariages , l'une avec un illettré , l'autre avec un enfant naturel d'une famille simple qui ne lui a pas donné son nom , deux s'établissent bourgeoisement (l'une avec un Procureur d'office du Marquisat de Brion , l'autre avec un marchand de Langeac qu'elle épouse en 1774).Quant à la dernière née , Marie-Jeanne , elle fait une alliance sans rapport aucun avec celle de ses soeurs. En effet , le 30 juillet 1777 , est signé devant Roussilhe , notaire de chaudes-Aigues , le contrat de mariagede Messire André de Saint-Pol , écoyer , Sieur de Villedieu , demeurant au village de Groulès , paroisse des Deux-Verges , fils majeur de défunt messire Etienne et de Dame Antoinette Moisset avec Marie-Jeanne de RIGAL de Fareirolles , fille de Messire Pierre-Jean de RIGAL écuyer seigneur de Fareyrolles et autres lieux , demeurant en son château de Farreyrolles paroisse de St-Rémy et de défunte Delphine de Roquier.
Le seigneur de Farreyrolles donne à sa dernière fille tous ses biens y compris le château et le domaine de Farreyrolles.Quand on lit que les biens des jeunes époux sont évalués à trente mille livres , on voit que Marie-Jeanne fait un très riche mariage .
Quand on constate que la famille de Saint-Pol , originaire du Forez où elle apparaît dès 1247 appartient à l'ancienne noblesse de chevalerie , cette alliance prend grande allure.
La lecture du contrat de mariage permet de penser qu'il s'agissait d'une union vraiment inespérée tant se révèle profond l'état d'impécuniosité dans lequel était tombé la famille de RIGAL. Il apparaît en effet :
1°)que les bâtiments de Farreyrolles ont besoin de plusieurs grosses réparations , étant en mauvais état ;
2°)que le fiancé a avancé à son futur beau-père et à sa future épouse le somme de trois mille livres;
3°)que les futurs époux devront payer toutes charges et dettes dues sur les biens donnés et notamment qu'ils devront payer 700 livres de gages aux anciens ou actuel domestiques de Farreyrolles;
4°) que les futurs époux doivent s'engager à payer douze cent livres à trois des soeurs de la mariée;
5°)que le mobilier du château et du domaine est bien sommaire puisque l'on note seulement:
-les lits garnis, 4 chaudrons de cuivre,les outils d'agriculture,les autres meubles nécessaires dans une maison, 60 livres d'étain qui manifestement sont les seuls témoins de l'ancienne aisance ou splendeur;
6°)que le cheptel , dont près de la moitié appartient à la future épouse , est faible au regard de ce grand domaine de plus de 200 hectares. Il est composé en effet de 2 paire de boeufs , 4 taureaux , 10 vaches , 7 génisses , 110 bêtes à laine.
Et voici que dans ce même contrat , Pierre-Jean de RIGAL , beau-père d'André de St-Pol , s'organise une paisible retraite : qu'on en juge:
-les époux St-Pol doivent lui verser une somme de 600 livres dont il fera ce que bon lui semblera;
-ils devront le nourrir , le loger , l'entretenir lui et son domestique attaché uniquement à son service ainsi d'ailleurs qu'un cheval harnaché et ferré;
-ils devront lui payer une rente annuelle de 120 livres et à défaut il jouira de la maison du pré grand de Fraissinoux ;
-en cas d'incompatibilité d'humeur , le père se réserve l'appartement appelé le salon et la cave y attenant , avec tous les meubles à lui nécessaire et il recevra alors une rente annuelle de 500 livres , son bois prêt à être mis au feu et les légumes qu'il désirera dans le jardin.
André de St-Pol et son épouse jeanne de RIGAL -ce jeune ménage plein de courage et sûr de son bonheur- s'installent à Farreyrolles qui va connaître à nouveau des années de fastes.
Neuf mois et un jour après le mariage , maît un fils , Pierre-Jean de St-Pol , à qui on donne le prénom du grand-père . Cette naissance sera suivie d'autres.
Le château , qui en a grand besoin , est restauré . Peut-être même , tout en restant prudent comme il se doit en pareille matière , pourrait-on dire qu'il est pratiquement reconstruit . En effet le souvenir d'une reconstruction est resté tenace dans le pays ; d'autre part , si le pavillon central en surélèvement donne aux deux étages sur rez-de-chaussée de la facade Sud une harmonie , une unité et une ampleur incontestablement seigneuriales , on notera que la partie Est (à droite de la photographie ) , en ce qui concerne le rez-de-chaussée et le 1er étage , ne semble pas construit d'aussi belles pierres que l'ensemble .
Cette restauration ne devait d'ailleurs pas être la première si l'on en juge par l'importance remarquable de certaines pierres d'assise du pignon Ouest ( à gauche de la photographie ) , mais elle justifiait pleinement le fait qu'André de St-Pol a fait graver dans la pierre , au-dessus de la porte d'entrée , ses armoiries qui se lisent :"d'argent , à deux pals de gueules , au franc canton d'argent chargé d'une croisette de sable . " Ces armoiries sont toujours parfaitement lisibles ainsi d'ailleurs que la couleur rouge des deux pals . Seul le nom de la famille de St-Pol qui , m'a-t-on dit , se lisait au-dessous , a été martelé et a donc disparu . Est-ce là une trace de la révolution que le vieux Mr. de RIGAL ne vit point puisqu'il décéda en 1789?
XIXe siècle: Vers la même époque , la magnifique et immense grange du domaine fut reconstruite ou tout du moins si restaurée qu'on fit inscrire la date de 1802 au-dessus de sa porte d'entrée .
Peut-être ces traveaux étaient-ils faits pour encourager le fils aîné Pierre-Jean , qui avait 24 ans , et pour utiliser la dot de sa jeune épouse . En effet , le 28 fructidor An VIII (13 septembre 1800) , Pierre-Jean de St-Pol de Farreyrolles avait épousé à 1 heure du matin dans l'église de Nasbinals , Marianne Valette fille de Jacques Joseph Valette (sieur de Montchoisy , avocat au parlement , lieutenant de juge des terres d'Aubrac ) et de Marie Tondut . Elle était la petit-fille des propriétaires du château voisin du Fraisse .
Ce jeune ménage habite et exploite Farreyrolles et l'attachement de cette famille de St-Pol à la commune de Saint-Rémy se manifeste par les fonctions de maire qu'exerce vers 1850 Mr Pierre de St-Pol .
Mais après quelques années sans histoire , le malheur et les difficultés vont à nouveau s'abattre sur les habitants de Farreyrolles .
Le 12 juillet 1880 , par jugement du tribunal de St-Flour dûment motivé , Marthe Dejean épouse de Mr Casimir de St-Pol , obtient que son mari soit interdit pour démence : il réside déjà dans l'établissement des aliénés de Ste-Marie de l'Assomption à Clermont-Ferrand (AD 157 U61). On imagine aisément les conséquences d'un tel drame pour la famille.
                Degré de confiance à accorder à l'information : 3
    Note :
firent foi-hommage au vicomte de Carlat en 1329
    Titre : Damoiseau, Cros de Montamat
    Nom : de RIGAL
          Prénom : Géraud
          Prénom : Géraud
          Nom de famille : de RIGAL
          Texte qui apparait après le nom : ou Rigaud
    Référence à des données utilisées comme description :
                Fichier : Armoiries de Rigal Av 1590.jpg

                 
Armoiries de Rigal Av 1590.jpg

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    Informations de famille :
          avec ?? Léone (1300) :

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