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BESOMBES Jean (SOSA : 133634)
    Arbre de descendance
    Naissance :
          Date : 1335
          Source :
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    Titre : Arbre généalogique
    Abréviation : 2537-Informations de Nicole François [francoisjaco@aol.com]
    Type :
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          Numéro d'identification : Cousin
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Nicole FRANCOIS (nicole4)
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          Source :
    Degré de confiance à accorder à l'information : 2
    Titre : Arbre généalogique
    Abréviation : 2417-Informations de Jean Louis Laporte [jean_louis_laporte@yahoo.fr] jlaporte5
    Type :
    Etablissement ou personne dépositaire de l'information :
    Nom : http://www.geneanet.org/profil/jlslaporte/Jean-Louis-Laporte
          Numéro d'identification : sans
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    Note :
Jean Louis LAPORTE (jlaporte5 )
http://www.geneanet.org/profil/jlaporte5
jean_louis_laporte@yahoo.fr
Courrier du 12/10/2017
Bonjour,
Il existe, contrairement à la version fréquente sur Généanet, 2 Francois GOULESQUE (contemporains et géographiquement proches) : - L'un marié avec Catherine LAURENS avec Cm du 2/4/1617. D'où 7 enfants cités en 1660 dans les test. de leur père et en 1664 dans celui de leur mère (aucune Catherine dans le lot).
- L'autre, + avant 1640, marié avec Catherine DELFAU d'où Catherine GOULESQUE mariée avec Guill. BOUTEILLE (Cm du 27/10/1640).
Le même genre de "salade" existe pour les LAURENS :
- Dans le Cm de 1617, Catherine LAURENS est fille de + Jehan LAURENS et de Claire LAURENS (sous réserve de bonne lecture et d'absence d'erreur du notaire pour la mère).
- Jean LAURENS, (aussi de Cussac paroisse de Combradet) x Catherine FERAL avec Cm du 26/2/1623 est un homonyme, fils de Claude LAURENS (très probablement apparenté à Jehan ou à Claire).
Cordialement.
Jean-Louis Laporte
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          Source :
    Degré de confiance à accorder à l'information : 2
    Titre : Arbre généalogique
    Abréviation : 2565-Informations de Gérard Fournier [gerardetjocelyne@hotmail.fr]
    Type :
    Etablissement ou personne dépositaire de l'information :
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          Numéro d'identification : sans
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    Note :
Gérard FOURNIER (gerardfournier1)
http://www.geneanet.org/profil/gerardfournier1/Gerard-Fournier
gerardetjocelyne@hotmail.fr
537 boulevard des Myrtes la Maison Blanche
83700 ST RAPHAEL - France
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          Source :
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    Titre : Généalogie
    Abréviation : 3061-Cercle Généalogique du Rouergue Généalogie de Goudal
    Type : Publishing
    Auteur : Émile Méjane, Jacques Poulet, François Puech
    Date : 2020
    Donnée :
          Texte exact provenant d'un document original :
Famille Goudal de la Goudalie
1 re partie
Armes : de sable au lion d'argent armé et lampassé de gueules, au chef cousu du même chargé de trois étoiles d'or.
Sources :
le fonds d'archives de la famille GOUDAL dispersé au XIXe siècle, qui se trouve aujourd'hui pour une part aux Archives départementales de l'Aveyron : E 207 à E 210 et 14 J 197 à 203 (Fonds CASSAN-FLOYRAC) et d'autre part à la Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron : 100 J 65 à 100 J 67, 3 E 231 et 3 E 231 bis et F 11 bis 603 et 604.
Archives départementales de l'Aveyron : registres paroissiaux de Muret, Lagnac, Villecomtal, Balsac, Ceyrac, Saint-Loup de Salles-Comtaux, Moyrazès, Estaing, Notre-Dame de Rodez, Bozouls, Clairvaux, Sébrazac , Saint-Mayme, Souyri, Barriac, Le Bousquet de Montpeyroux, Tesq de Montpeyroux, Saint-Symphorien-de-Thénières et Cassuéjouls, registres d'état-civil de Rodelle, Rodez, Onet, SaintMayme, Saint-George de Camboulas, séries B (insinuations), C, E, 2 E, 3 E, J, 30 J 2 et 5 (relevés d'actes du gouverneur SALESSES), 50 J 223, fonds 14 J et 184 J.
Archives départementales de la Vienne : registres paroissiaux de Doussay.
Archives départementales de l'Eure-et-Loir : registre paroissial de Châteaudun.
Archives départementales de Guyane : registre paroissial de Cayenne.
Archives départementales du Tarn : registres paroissiaux de Cordes, registres d'état civil d'Albi, série 3 E.
Archives départementales des Bouches-du-Rhône : registres d'état civil d'Arles.
Archives départementales de la Haute-Garonne : registres paroissiaux de Saint-Etienne de Toulouse et registres notariés.
Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron : 27 J (fonds VALADY).
NOËL (Raymond) Dictionnaire des châteaux de l'Aveyron, 2 tomes, Subervie, 1972.
BARRAU (Hippolyte de), Documents historiques et généalogiques sur les familles du Rouergue, 4 tomes, Ratery, 1853-1860.
HOCQUELLET (Pierre), Armorial général du Rouergue - tome 1, CGR, 2009.
VIGNAU (Jean), Nobiliaire des généralités de Montauban, Auch et du Pays de Foix - tome II, Histoire et famille du Sud-Ouest, 1998.
BONALD (vicomte de), Documents généalogiques sur les familles du Rouergue, Carrère, 1902. - AFFRE (Henri), Lettres à mes neveux sur l'histoire de l'arrondissement d'Espalion, Cestan, 1858. - MEJANE (Émile), Muret-le-Château, Carrère, 1973.
MEJANE (Émile), Étude sur la famille GOUDAL de LA GOUDALIE Bulletin du Cercle généalogique du Rouergue, no 1 1, 1995.
BOUYALA (Alain), Le château de La Goudalie, 2002, (document inédit).
La famille GOUDAL, dans les temps anciens GODALH, a donné son nom au domaine de La Goudalie situé sur le Causse Comtal, entre les villages de Muret et de Lagnac, aujourd'hui sur la commune de Rodelle.
L'affar de La Goudalie est mentionné pour la première fois sur un acte de 1331 (30 J 2). L'ensemble du domaine dépendait de la châtellenie et du mandement de Rodelle qui relevaient des comtes de Rodez
-1-
et plus tard, directement du roi. Cependant, l'habitation du domaine, puis le château bâti au tout début du XVIle siècle étaient rattachés à l'église de Muret dans laquelle les membres de la famille GOUDAL seront ensevelis, en la chapelle Saint-Blaise, dès le XVIe siècle.
Connue dès le tout début du XIV siècle, la branche aînée des GOUDAL, plus tard de GOUDAL de LA GOUDALIE, se perpétua jusqu'à la fin du XIXe siècle, même après avoir aliéné, en 1824, son domaine de La Goudalie qu'elle avait occupé pendant cinq siècles.
Hippolyte de BARRAU, dans ses Documents historiques et généalogiques sur lesfamilles du Rouergue a dressé une généalogie des GOUDAL de LA GOUDALIE et des GOUDAL de Curlande et de La Roquette essentiellement à partir des éléments du jugement de maintenue de noblesse rendu en leur faveur par l'intendant LEGENDRE, le 25 janvier 1700.
Plus récemment, M. Henri CREYX, archiviste aux Archives départementales de l'Aveyron, a établi une généalogie beaucoup plus élaborée des GOUDAL portant sur la branche aînée de La Goudalie jusqu'au milieu du XVIIe siècle et sur la branche de La Garde, de son origine au XVIe siècle, jusqu'à son extinction dans la première moitié du XVIle siècle. Cette étude généalogique figure en préambule de l'inventaire du fonds de CASSAN-FLOYRAC (14 J) aux Archives départementales de l'Aveyron.
Le plus ancien membre de la famille GOUDAL mentionné dans les actes était prénommé Etienne et vivait dans les années 1315/1323. C'est par lui que nous débuterons cette généalogie :
- Étienne GOUDAL, nous est connu par trois actes relevés par le gouverneur Eugène-Pierre SALES SES (30 J 2 et 30 J 5) : il s'agit de deux accessats consentis par Leu (ou Loup) de SALLES, sieur de Recoules, paroisse de Lagnac, à Etienne GOUDAL, en 1315 et 1320 et de l'hommage rendu le 19 juin 1323 au comte de Rodez par les habitants du mandement de Rodelle et parmi eux Etienne GOUDAL (ce dernier acte se trouve aux Archives départementales du Tarn-et-Garonne, (AD 82) Fonds d'Armagnac, A 72).
On présume qu'il fut père de :
- Guillaume, qui suit,
- Pierre, dont on ne sait rien, si ce n'est qu'il vivait en 1329.
- Guillaume GOUDAL, premier seigneur du nom, fit reconnaissance en 1329 pour lui et son frère Pierre à l'évêque de Rodez, seigneur de la terre de Muret, pour le village dels Herms, situé dans les appartenances de Muret et de Lagnac et une pièce de terre au terroir del Cayre (G 830).
En 1331, Leu de SALLES consentit à Guillaume GOUDAL un accessat pour une terre à l'affar de La Goudalie (30 J 2) ; c'est le premier acte portant mention du lieu de La Goudalie.
Le 11 juillet 1340, Guillaume GOUDAL, habitant de La Goudalie, paroisse de Muret, fait reconnaissance au seigneur de LA TOUR (E 270). On présume qu'il fut père de :
- Etienne, qui suit,
- Bernarde, qui consentit, le 7 mars 1392, devant Joffre, notaire de Rodelle, une quittance dotale en faveur de son neveu Guillaume GOUDAL, fils de feu Etienne, de La Goudalie, pour la somme de 15 florins d'or, en déduction de la dot à elle constituée par ledit feu Étienne, son frère en faveur de son mariage avec Jean del FRAYSSE (3 E 12985).
- Étienne GOUDAL qui nous est seulement connu par la quittance dotale de sa sœur Bernarde. Il fut père de :
- Guillaume, qui suit,
-2-
Bulletin du Cercle Généalogique du Rouergue - no 114
IV - Guillaume GOUDAL, deuxième du nom, consentit, le 27 décembre 1386, devant Joffre, notaire de Rodelle, une quittance à Jean BESOMBES, son beau-père, pour la somme de 22 francs or, à compter sur la dot de Flore BESOMBES, fille dudit Jean BESOMBES (3 E 12985). Cette famille BESOMBES semble pouvoir être rattachée à la famille de même nom qui donna son nom au moulin de La Besombie, sur la paroisse de Muret.
Guillaume GOUDAL, habitant au village de La Goudalie, fit reconnaissance à l'évêque de Rodez, en 1383 (année incertaine) pour une pièce de terre au terroir del Cayre, un affar confrontant avec le village de La Peyrière et un moulin, pris récemment à cens, sis sur le ruisseau de Cueye, dans l'affar de La Ysola, le tout sur la paroisse de Muret (G 832). Il consentit une nouvelle reconnaissance à l'évêque de Rodez en 1409 (G833).
Au mois de mars 1397, devant Guillaume Joffre, notaire de Rodelle, noble Bernard de BALAGUIER, seigneur du village des Fons, paroisse de Lagnac, consentit un lauzime en faveur de Guillaume GOUDAL, pour diverses acquisitions dans ce village (3 E 12985) . le 7 septembre 1398, il s'était aussi rendu acquéreur, devant le même notaire, d'une vigne au terroir de La Garrigue, sur la paroisse de Muret (3 E 12985).
Le 5 mars 1426 (nouveau style) c'est à Jean LONGAYROU, marchand du bourg de Rodez, qu'il consentit reconnaissance pour un terroir aux appartenances de Recoules et quartier del Cayre (ou del Cayrol) sur la paroisse de Lagnac (E 277).
Guillaume GOUDAL était décédé le 17 juin 1433 comme l'indique la reconnaissance dotale de sa fille Jeanne dont nous allons parler. Il fut père de :
- Guillaume, qui suit,
- Jeanne, épouse de Pierre VINHES et dont le beau-père Bernard VINHES, du mas de Vayssac, paroisse de Muret, fitunereconnaissance dotale, le 17juin 1433 , devantVinzelle, notaire de Villecomtal (3E 10960), en faveur de Guillaume GOUDAL, frère de Jeanne et fils et héritier de feu autre Guillaume GOUDAL, leur père.
V - Guillaume GOUDAL, troisième du nom, fit reconnaissance à l'évêque de Rodez, le 9 mai 1441, pour une maison nouvellement construite, sise à Muret et une pièce de terre Al Cayre (G 834).
Le 31 octobre 1459, il achète un champ à Jean et autre Jean MARCENAC père et fils, de Recoules (30
Le 31 octobre 1461, devant Bertrand Vinzelle, notaire de Villecomtal, il acheta à noble Pierre CORNÉLY, sieur de Camboulit, en Quercy, et des Fons, le droit de quint sur une pièce de terre sise aux appartenances dudit village des Fons et terroir de Boldres (Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron 100 J).
L'année suivante, le 20 août 1462, devant Aymeric Bessolis, notaire de Salles-Comtaux, il acheta de noble Jean GROS, fils de Raymond, du bourg de Salles-Comtaux, le village des Fons quitte de toutes tailles, censives et autres devoirs seigneuriaux, sauf l'hommage au seigneur comte de Rodez (Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron - 100 J), que ces derniers avaient acquis de la famille CORNÉLY
Le 8 octobre 1466, il consentit une reconnaissance à noble Christophe de MARQUÉS, ayant droit de la famille de MESSAC, pour la devèze de Querbes (30 J 2).
Guillaume GOUDAL était déjà décédé le 24 janvier 1469 (nouveau style) lorsque devant Besombes, notaire de Rodez, son fils Guillaume consentit à Jean SEGUY, de Sébazac, une reconnaissance dotale pour la dot de Souveraine SEGUY, soeur dudit Jean et veuve de feu Guillaume GOUDAL, son père (E 1638). Guillaume GOUDAL fils consentit une nouvelle reconnaissance au même, le Il mai 1471, pour le même objet (E 1638). La rédaction de ces actes laisse à penser que Guillaume GOUDAL fils n'était peut-être pas le fils de cette Souveraine SEGUY, mais plutôt son fillastre ? Souveraine SEGUY était encore vivante lors du testament de son frère Jean SEGUY, reçu par Depodio, notaire de Rodez, le 29 janvier 1485 (nouveau style) (3 E 2016).
-3-
Guillaume GOUDAL fut donc père de :
1 - Guillaume, qui suit :
- Guillaume GOUDAL, quatrième du nom, fit reconnaissance à noble Bernard de LA TOUR, le 2 juillet 1472, pour un pré au village des Fons (E 263) et le 12 novembre 1489, à l'évêque de Rodez, pour ses biens relevant de la seigneurie de Muret (G 837).
Il était encore vivant lors de la passation d'un accord entre Guillaume GOUDAL junior, son fils et Jean BROAT, de La Laurentie (aujourd'hui Broat), paroisse de Muret, du 12 mai 1496 (14 J 199). Il était déjà décédé le 31 janvier 1499 (n.s.) dans l'acte passé entre Durand GOUDAL et Guillaume GOUDAL frères, ses enfants, pour la vente, par le premier au second, d'une maison sise au repaire des Fons acquise de noble Jean MARCENAC (14 J 197).
Ce Guillaume GOUDAL eut au moins cinq fils :
- Guillaume, qui suit,
- Durand, mentionné ci-dessus. Le 28 avril 1520 devant Pierre Unald, notaire de Rodez (3 E 4688), restant alors à la ferme de Jean ASTORG, du mas de Vabre, il donne quittance à Jeanne ENGALENCA, sa belle-sœur, veuve de Guillaume GOUDAL, son frère et à autre Guillaume GOUDAL, bachelier ès droits, son neveu.
Il ressort d'un acte d'achat reçu par Besombes, notaire de Rodez, en date du 7 décembre 1525 (E 1656), que Durand GOUDAL fut marié à Marguerite RAFFIN et qu'il eut un fils, autre Guillaume GOUDAL, dont on ne sait rien de plus.
- Jean, mentionné avec son frère Jacques dans un acte du 6 septembre 1486 relatif à un accessat consenti en leur faveur par messieurs de VERRIÈRES, sieurs de La Salle, de Rodelle, comme successeurs de noble Hugues de MESSAC et de dame Irlande RAYMOND.
- Jacques, que nous venons de citer.
- Pasquet, qui suivra comme étant l'auteur de la branche des GOUDAL, des Gaillacs sur la paroisse de Muret (aujourd'hui La Pasquetterie). Cette branche sera à l'origine de plusieurs rameaux établis au village de Muret.
Pasquet GOUDAL est présent à l'acte de donation et de partage de biens passé devant Me Pierre Unald, notaire de Rodez, le 13 mai 1525 (3 E 4691), entre Jeanne ENGALENCA, veuve et héritière de Guillaume GOUDAL et leurs enfants, neveux dudit Pasquet.
- Guillaume GOUDAL, cinquième du nom, est mentionné pour la première fois sur un acte du 5 septembre 1488 reçu par Dominique de Petra, notaire de Muret (3 E 12986), par lequel il achète à noble Jean des ONDES une rente féodale sur un pré lui appartenant appelé lou prat de La Barthe, aux appartenances du village des Fons.
Le 18 mars 1508 (n.s.), devant Hugues Mouysset, notaire de Rodez (E 1952), il recevait l'investiture des consuls du bourg de Rodez comme patron du purgatoire de l'église Saint-Amans, pour l'achat d'une pièce de terre au puech de Querbes, paroisse de Muret, acquise à noble Guillaume MARCENAC, du château de Muret. Le 13 février 1511 (n.s.), il acheta divers biens et rentes féodales à nobles Antoine et Bertrand de VERRIÈRES, sieurs de La Salle (30 J 2). Le 28 mars 1516, devant Dominique de Petra, notaire de Muret, il acheta divers biens à Jean MARCENAC, de Recoules, paroisse de Lagnac (Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron, F II bis 604) et encore, en 1517, devant le même notaire, il acheta à noble Antoine de VERRIÈRES toutes les rentes qu'il payait audit de VERRIÈRES (3 E 12986). Il avait fait reconnaissance à l'évêque de Rodez, au mois de février 1516(n.s.) (G 839), mais il était déjà décédé le 28 avril 1520 lors de la quittance faite par son frère Durand à sa veuve Jeanne ENGALENCA. On ne sait rien sur l'origine de cette Jeanne ENGALENCA qu'il épousa entre 1480 et 1490 et dont il eut dix enfants, tous mentionnés dans l'acte de donation et de partage de biens du 13 mai 1525 dont nous avons déjà parlé
1- Guillaume, qui suit,
2- Antoine, qui épousa, par contrat du 28 janvier 1518 (n.s.), Antoinette de GRANMOND, fille de Guillaume de GRANMOND du mas de Lesclausades, paroisse de Muret, veuve en premières noces et héritière de Déodat PERIER, de La Garde, paroisse de Cadeyrac.
C'est par ce mariage que la famille GOUDAL entra en possession du domaine de La Garde.
La généalogie de cette branche a été établie par Mr Henri CREYX ancien archiviste aux Archives départementales de l'Aveyron et figure à l'inventaire du fonds de CASSAN-FLOYRAC - série 14 J.
De cette branche est issu le rameau de Barriac, dont la souche fut constituée par Jean GOUDAL fils de Guillaume GOUDAL et Marguerite PALOUS, qui épousa, avant 1598, Jeanne POMARÈDE, fille et héritière d'Antoine POMARÈDE, faure de Barriac et de Jeanne BONAURE (accord du 4 décembre 1598 reçu par Alboy, notaire de Bozouls - 3 E 10081).
3- Pierre, dont on ne sait rien.
4- Jean, qui épousa Marie DELPUECH, de Grioudas, paroisse de Gillorgues, où il fit souche. Cette alliance nous est connue par la vente faite, le 9 mars 1554 (n.s.), devant Bonenfan, notaire de Bozouls (3 E 10117), aux prêtres de l'église Saint-Amans, de Gillorgues.
De cette branche est issu un rameau installé, dans la première moitié du XVIF siècle, à Valady : Jean GOUDAL, N'Ire maréchal à Valady, fils de Guillaume GOUDAL et Marguerite FONTALBAT, (actes du 15 septembre 1645 reçu par Guirbal, notaire de Salles-Comtaux - 3 E 2070 et du 16 août 1653, reçu par Soulier, notaire de Rodez - 3 E 6351).
5- Marguerite, mariée, par contrat du 14 janvier 1526 (n.s.), devant Pierre Unald, notaire de Rodez (3 E 4694) à Pierre CALMELS, fils d'autre Pierre, du mas de Calmels, paroisse d'Ampiac. Le contrat fut passé à La Goudalie, en présence de Jeanne ENGALENCA, sa mère, de ses quatre frères, de Me Durand BESOMBES, prêtre de Muret et de Jean BOUTET du mas de Burg, paroisse de Muret. Le 4 février 1526 (n.s.) , les mariés firent reconnaissance à Guillaume GOUDAL, leur frère et beau-frère pour leur dot (Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron, 3 E 231). Beaucoup plus tard, le 9 mai 1557, Marguerite, alors veuve, donna encore quittance pour sa dot à Guillaume GOUDAL, de La Garde, paroisse de Cadeyrac (14 J 199). Elle testa le 27 mai 1572 devant Jean Guirbal, notaire de Salles-Comtaux (3 E 2050).
6- Catherine, mineure en mai 1525, doit probablement être identifiée avec cette Catherine GOUDAL, native de La Goudalie qui, le 8 mai 1585, fit donation à ses fils Guillaume NAVARRE, marchand de la ville de Maurs en Auvergne et Raymond PALAYRET, de la Massabuone, paroisse de Valady (série B, insinuations Villefranche 1584/1588). Elle avait été mariée en premières noces à Antoine NAVARRE, de Cadeyrac et, en secondes noces, par contrat du 5 août 1550 reçu par Jean Bancal, notaire de Muret (14 J 204) à Raymond PALAYRET, de La Massabuone.
Catherine GOUDAL aura sept enfants de son premier mariage et deux du second.
7- Jeanne, qui était déjà mariée en mai 1525 avec Jean LADOUX, de Ronne, paroisse de Mondalazac, fils de François et de Guize REBOESC. Elle était encore vivante lors du testament de son fils Guillaume, drapier de Rodez, du 28 juin 1572 (ou 1573 ?) reçu par Vitalis, notaire de Rodez (3 E 2206).
8- Antoinette, qui était déjà mariée en mai 1525, au mas de Madrières, que nous n'avons pu identifier,
9- Antoinette, qui était déjà mariée en 1525 à Me Jean de Petra (ou LAPEYRE), notaire de Muret, désigné notaire épiscopal et greffier de l'officialité de Rodez, dans un acte du 5 août 1512 (E 1814), dans lequel il est mentionné fils de Guillaume de PETRA.
De cette union viendra une fille, Jeanne, mariée par contrat du 14 août 1544, à Me Jean BANCAL(IS), notaire de Muret, fils de Raymond BANCAL, notaire d' Auzits (Généalogie de la famille de BANCALIS par Charles-Henri d'ARAGON, Bulletin du Cercle généalogique du Rouergue, no 41 , 2002).
-5-
10 - Jeanne, qui était déjà mariée en mai 1525 à Dominique VERDIER, alias LACOMBE de Marcillac.
VIII - Guillaume GOUDAL, sixième du nom, est qualifié de bachelier ès droits dès 1520 (acte du 28 avril 1520 déjà cité - 3 E 4688).
Héritier du domaine de La Goudalie, c'est à ce titre qu'il consentit reconnaissance à noble Jean de RELHAC, de Mouret, le 13 juin 1545 (Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron - 3 E 222) et au roi, au titre de la châtellenie de Rodelle, le 26 février 1546 (n.s.) (Cl 171).
Il était partie prenante à l'acte de donation et de partage des biens de ses parents le 13 mai 1525. La succession fut néanmoins l'objet d'une contestation de la part d'Antoine GOUDAL, frère de Guillaume. Le procès qui suivit fit l'objet d'une sentence du Parlement de Toulouse en date du 7 mars 1530 (n.s.) (Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron - F II bis 603 et 100 J).
Un nouvel accord intervint entre les deux frères le 7 novembre 1530 par lequel Guillaume GOUDAL laissait le domaine des Fons à son frère Antoine moyennant certaines compensations et chargeant ce dernier de payer la légitime de Jean GOUDAL, de Grioudas leur frère (30 J 2). Un recueil d'actes précise au sujet de cet accord, qu'en conséquence de l'arrêt de la cour du parlement rendu en 1530 entre les susdits, tout ce qui est au-delà du chemin, qui est à gauche en allant de La Garde aux Fons est à Guillaume de La Goudalie et tout ce qui est à droite du chemin est à Antoine GOUDAL, de La Garde (14 J 208).
Ce différend fit encore l'objet d'un nouvel arrêt du parlement de Toulouse le 8 août 1531 en faveur d'Antoine GOUDAL et Antoinette de GRANMOND, son épouse de La Garde (Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron - 100 J) et d'un nouvel accord entre Guillaume GOUDAL et ladite Antoinette de GRANMOND, alors veuve d'Antoine GOUDAL, de La Garde, le 30 octobre 1537, devant Durand Besombes, notaire de Rodez (E 1660).
Le fonds 100 J de la Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron conserve trois testaments de Guillaume GOUDAL :
-deux testaments datés du 15 juillet 1549 reçus par IVIe Hugues Joffre, notaire de Rodelle, établis en langue d'oc, qui sont des copies tardives présentant quelques petites divergences. Guillaume GOUDAL est désigné « noble Guillaume GOUDAL, seigneur de La Goudalie, homme d'armes des ordonnances du roi». Les deux testaments comportent un légat à Antoine GOUDAL, fils du testateur, l'un de 500 livres et l'autre de 1 000 livres et désignent noble Catherine de MARTRIN, épouse du testateur, comme son héritière universelle pour restituer à Pierre de GOUDAL, son fils aîné ; il n'y a aucun autre enfant de cité alors que nous savons bien par ailleurs qu'il y avait d'autres enfants. Sur l'un de ces testaments, le testateur fait une substitution en faveur d'Antoine de POMAYROLS, son cousin. Pour ce qui nous concerne, il ne fait aucun doute que ces deux documents sont les copies d'un faux testament transmis en 1699 par le successeur de Guillaume GOUDAL pour obtenir l'annulation de sa condamnation pour usurpation de la qualité de noble. C'est d'ailleurs, en partie grâce à ce document que Jean de GOUDAL obtiendra de l'intendant LE GENDRE, le 23 janvier 1700, une ordonnance de maintenue de noblesse.
Il faut en effet noter que sur les très nombreux actes notariés originaux ou d'époque dont nous disposons concernant les GOUDAL pour cette période des XVF et XVIF siècles, nous n'avons jamais relevé la mention d'un noble Guillaume GOUDAL, homme d'armes des ordonnances du roi, ni aucune qui aurait permis de confirmer l'existence de Catherine de MARTRIN ; c'est seulement en 1608 que la qualité de noble est attribuée à un membre de cette famille, en l'occurrence Pierre de GOUDAL.
le troisième testament nous paraît être le bon. Il s'agit d'une copie d'époque, rongée en partie et de ce fait sans date, signée par Pierre Bonnemère, notaire de Muret recevant l'acte. On peut penser que la date du 15 juillet 1549 indiquée sur les deux premiers testaments est aussi celle de cet acte. Guillaume GOUDAL y est bien qualifié de bachelier ès droits, qualité conforme à celle des nombreux actes déjà évoqués.
Guillaume GOUDAL y désigne ses fils dans l'ordre : Jean, Guillaume, François, Pierre et Antoine ; les prénoms des filles se trouvent dans la partie rongée ; son héritière universelle est Françoise MARTIN, sa femme.
-6-
Le gouverneur SALESSES a relevé plusieurs actes notariés reçus dans les années 1556 et 1557 par Mes Jean Bancal et Pierre Bonnemère, notaires de Muret concernant Françoise MARTIN (ou MARTY), veuve de Guillaume GOUDAL.
De Guillaume GOUDAL et Françoise MARTIN sont issus au moins 8 enfants :
- Jean, qui suit,
- Guillaume, dont on ne sait rien.
- François, dont on ne sait rien.
- Pierre, qui suivra après son frère.
-Antoine, sieurdeLa Coste, dit le capitaine de Barriac, épousa vers 1580 Antoinette BOUSQUET, fille et héritière de Jacques BOUSQUET et Gabrielle COU S SAUNE, du village de Masmajou, paroisse de Barriac, comme il ressort de deux actes reçus par Amans Alboy, notaire de Bozouls, le 19 octobre 1641 (3 E 26275). C'est par ce mariage que les GOUDAL prirent possession du domaine de Masmajou. Antoine GOUDAL épousa en secondes noces, par contrat du 14 février 1588 reçu par Jean Guirbal, notaire de Salles-Comtaux (3 E 2054), Françoise BESSODES, fille de Guillaume BESSODES, marchand du Viala-du-Tarn et veuve de Dominique LAURENS, de Salles-Comtaux.
L'existence de ce rameau fut éphémère car la petite-fille d'Antoine, Françoise de GOUDAL, héritière de ses parents Mathieu GOUDAL et Anne de GUIEYSSE, épousa, par contrat du 19 février 1637 (Antoine Pons, notaire de Laissac - 3 E 2111), noble Jacques de ROQUEFEUIL, seigneur d'Arcisse, fils de feu Jean de ROQUEFEUIL, seigneur de La Salle et de Lucrèce de LUSTRAC, du diocèse d'Albi, auquel elle apporta les biens de sa maison et l'héritage des BOUSQUET, de Masmajou.
Cette famille BOUSQUET a fait l'objet d'une étude généalogique publiée dans le bulletin du Cercle généalogique du Rouergue - no 30, sous la signature de Mrs François PUECH et Émile MEJANE. Pour la branche des GOUDAL, de Masmajou, il y a lieu de consulter l'ouvrage « Barriac en Rouergue et ses environs » (étude Emile MEJANE).
- Gaillarde, qui épousa Hugues ROUX, d'Agulhou, paroisse de Souyri. Elle teste le 8 novembre 1566 devant Jean Guirbal, notaire de Salles-Comtaux (3 E 2047), faisant des legs à Françoise GOUDAL, sa sœur et Jean GOUDAL, son frère.
Le 2 juin 1585, devant le même Jean Guirbal, Pierre et Antoine GOUDAL, de La Goudalie et de Barriac, sont présents au contrat de mariage de son fils Jean ROUX avec Catherine PERRIN (3 E 2054).
Le 6 mars 1588, devant le même notaire, Pierre GOUDAL, de la Goudalie, est arbitre pour régler un différend entre Hugues ROUX, mari de Gaillarde et François BERTRAND, d'Agulhou (3 E 2054).
Elle teste une nouvelle fois, le 25 juin 1619, devant Jean Viguier, notaire de Salles-Comtaux, mentionnant sa maison paternelle de La Goudalie (E 1275).
- Jeanne, mariée en premières noces, avant 1558, à Bernard GAMEL, de Concourès (testament de Me Jean GAMEL, prêtre de Concourès, du 15 mai 1558, reçu par Bonenfan, notaire de Bozouls - 3 E 10118). Pierre GOUDAL de La Goudalie est présent au contrat de mariage de sa fille Françoise GAMEL avec Jean BABEC, d'Onet, le 23 août 1580, devant Jean GUIRBAL notaire de Salles-Comtaux (3 E 2052).
Jeanne GOUDAL épouse, en secondes noces, Me Jean AYRAL, notaire de Bertholène (donation audit AYRAL du 16 janvier 1595 reçue par Cambon, notaire de Montrozier (3 E 3931) et teste le 21 mars 1608 devant Fabri, notaire de Laissac (3 E 2036) en faveur des enfants issus de ses deux mariages,
- Françoise, mariée à Pierre VIGUIER, fils de Bonet, de Pessens, paroisse d'Agen. Pierre VIGUIER fut désigné héritier universel de son beau-frère Jean GOUDAL lors du testament de ce dernier passé le 24 décembre 1569 devant Guillaume Vitalis, notaire de Rodez (3 E 21429). Pierre
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VIGUIER testa le 10 novembre 1608 devant Jean Bousquet, notaire d'Agen (3 E 1931 ), sa femme Françoise GOUDAL étant toujours vivante, et en présence de Pierre GOUDAL de La Goudalie.
IX - A) Jean GOUDAL, fut restitué dans l'héritage du domaine de La Goudalie conformément au testament de son père, et à ce titre, le I er août 1565, il consentit reconnaissance à l'évêque de Rodez pour une maison au château de Muret, terres, prés, un moulin aux Douzes et des vignes aux Garrigues (50 J 223). Le 25 janvier 1563, devant Géraud Clauzel, notaire de Coussergues (E 1417), il fit reconnaissance avec Astrugue DESMAZES, son épouse, fille de sire Jean DESMAZES, marchand de La Bannerie, de Ceyrac et d'Antoinette MAZEAU, à son beau-père pour le douaire constitué par ledit DESMAZES lors de leur contrat de mariage reçu par Pierre Bonnemère, notaire de Muret, et passé probablement quelques jours avant ; étaient présents à cette reconnaissance Me Aymeric BOUTET, de Lesclausades, sire Guillaume DESMAZES, marchand de Rodez, Jean MAZEAU, de Fournols et Jean GOUDAL, fils de feu autre Jean, de Grioudas.
Astrugue DESMAZES décédera peu d'années après son mariage et Jean GOUDAL épousa en secondes noces, vers 1565, Catherine AYRAL, fille de Me Raymond AYRAL, notaire de Bertholène, et sœur de Me Jean AYRAL, aussi notaire de Bertholène. Il semble bien que l'on puisse identifier Catherine AYRAL avec cette Catherine AYRAL, mariée en premières noces à MC Antoine Gasqui, notaire de Ceyrac, par contrat du 6 mars 1555 (n.s.) reçu par Trémolières, notaire de Laissac (3 E 2189).
Pour des motifs qui demeurent encore obscurs, Jean GOUDAL procéda dans les années 1567 à 1569 à de nombreuses aliénations des biens familiaux :
en octobre 1567, vente du pré del Carme à Me Aymeric BOUTET, de Lesclausades (30 J 2). Ce dernier se rendit aussi acquéreur d'une devèze au terroir de Maloyres, paroisse de Muret ; il revendit ces biens le 9 mars 1570 à Me Raymond Cayron, avocat et juge criminel en la sénéchaussée de Rouergue (3 E 2049).
le 9 juillet 1568, vente à Me Pierre CAYRON, chanoine de Rodez, de la maison du métayer de La Goudalie et de plusieurs terres (30 J 2).
le 30 mars 1568, nouvelle vente d'un champ audit Me Pierre CAY RON (30 J 2).
le 13 janvier 1569, vente d'un pré à Pierre SOLINHAC, meunier du moulin de Sardonne, son beau-frère (30 J 2).
le 25 janvier 1569, vente à Guillaume BOUTET, prêtre de Muret, d'un pré au terroir des Ondes (3 E 2049).
Jean GOUDAL testa à Rodez le 24 décembre 1569 devant Guillaume Vitalis, notaire de Rodez (3 E 21429) au motif de faire un voyage au pays de Languedoc, étant en la présente ville pour partir le jour présent et craignant de quelques dangers de sa personne par maladie ou infortune ; il demande sa sépulture en l'église de Muret, au tombeau de ses prédécesseurs. Il fait des legs à Catherine AYRAL, sa femme, à Jeanne GOUDAL, sa fille de son premier mariage avec Astrugue DESMAZES, à Marie et Antoinette GOUDAL, ses filles de son second mariage et à Pierre GOUDAL et ses autres frères et sœurs, et désigne son héritier universel Pierre VIGUIER son beau-frère, de Pessens, pour rendre l'héritage à l'une de ses filles ou à défaut à Jeanne GOUDAL, sa fille de son premier mariage.
Trois mois plus tard, le 3 avril 1570, devant Jean Bertrandi, notaire de Laissac (3 E 1 83 1), Jean GOUDAL fit donation de tous ses biens à Pierre SOLINHAC, meunier du moulin de Sardonne, son beau-frère (il était marié avec Marie AYRAL, de Bertholène) considérant « être ennuyé en sa maison par aucuns grands qui le menacent lui nuire à cause de la prétendue religion, où il ne peut sûrement demeurer » , et que « le capitaine LAGARRIGUE ayant charge pour le roi lui aurait fait permettre de le suivre avec un sien frère avec ledit GOUDAL venir en sa compagnie pour le roi », pour l'amitié qu'il a pour ledit Pierre SOLINHAC auquel il recommande sa femme, belle-sœur dudit SOLINHAC et leurs enfants, pour rendre son hérédité auxdits enfants.
Le 28 septembre 1571, devant Jean Guirbal, notaire de Salles-Comtaux (3 E 2050), Jean GOUDAL vend une pipe de vin à Me Aymeric BOUTET, notaire de Lesclausades ; c'est le dernier acte que nous ayons trouvé portant mention de Jean GOUDAL vivant. Il est porté décédé dans l'acte d'un achat fait
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par Pierre GOUDAL, de la Goudalie, son frère, du 1 7 décembre 1575 reçu par Vitalis, notaire de Rodez (3 E 2207).
Catherine AYRAL, sa veuve, et encore veuve de Jean COUDERC, marchand de la ville de Rodez, testa par deux fois, d'abord le 19 janvier 1600, devant Fabry, notaire de Laissac, puis à nouveau le 10 décembre 1601 devant le même notaire (3 E 2032). Jean GOUDAL laissa de ses deux mariages :
du premier lit :
- Jeanne, mariée par contrat du 15 octobre 1581 reçu par Antoine Coudere, notaire de Ceyrac (E 100) à Hilaire COUDERC, fils de Jean, du mas de Foissac, paroisse de Valeilhes-les-Mouret. Le contrat est établi du consentement de sire Jean DESMAZES, de La Bannerie de Ceyrac, Me Jean DESMAZES, recteur de Pierrefiche, Me Étienne MAZEAU, docteur de Coussergues et Pierre et Antoine GOUDAL frères, tous oncles de ladite GOUDAL.
Le contrat mentionne que feu Jean GOUDAL, père de la mariée, au temps de son décès était redevable à plusieurs créanciers en diverses et grandes sommes, si bien que son bien avait été mis en générale distribution par lesdits créanciers, laquelle distribution encore pendante en la cour de la comté de Rodez. IVIe Raymond de CAYRON, juge criminel de Rouergue, tenant des biens dudit feu GOUDAL comme principal créancier fut tenu de payer audit Jean DESMAZES une somme de 1 000 livres pour servir à la dot de ladite Jeanne GOUDAL.
du second lit
- Marie, mariée par contrat du 8 avril 1584 reçu par Etienne Coignac, notaire de Rodez, à Amans BOSCUS, marchand dudit Rodez, fils de François et Marie CAUVALENQ, avec le consentement de Catherine AYRAL, sa mère et de Pierre et Antoine GOUDAL, ses oncles paternels (série B, insinuations Villefranche, 1584/1588).
- Antoinette, sans doute décédée jeune car elle n'est pas mentionnée aux testaments de Catherine AYRAL, sa mère.
Avant de poursuivre la filiation des GOUDAL et suite aux déboires patrimoniaux et au décès de Jean GOUDAL, il n'est pas inutile de consulter le compoix de Rodelle de 1586 pour faire le point sur la situation du domaine de La GOUDALIE en cette fin du XVIe siècle.
Le compoix mentionne 4 tenanciers :
Me Raymond de CAYRON, juge criminel de Rouergue, une maison fouganhe, terres, prés, devèzes...,
les héritiers de Jean GOUDAL (ses filles dont nous avons parlé),
Pierre GOUDAL dudit mas pour lui comme tenant de la légitime de ses frères et sœurs, une maison fouganhe, colombier, terres, prés, devèzes...,
Catherine AYRAL, veuve dudit Jean GOUDAL.
IX - B) Pierre GOUDAL, fils cadet de Guillaume et Françoise MARTIN, va s'occuper dès le décès de son frère Jean de régler les affaires de famille et de racheter les biens que ce dernier avait aliénés.
Le 17 décembre 1575, devant Vitalis, notaire de Rodez (3 E 2207), il rachète un pré et une terre achetés par Jacques FAU à Jean GOUDAL.
Le 12 octobre 1578, devant Coignac, notaire de Rodez (E 1770), il rachète à Pierre SOLINHAC, meunier du moulin de Sardonne et beau-frère de Jean GOUDAL, les terres et bois sis au terroir de Boldres que ce dernier lui avait cédés.
Le 26 février 1579, devant Jean Dusolier, notaire de Muret et sous l'arbitrage de Mrs et Mes François FABRY et Bernard ARRIBAT, docteurs et avocats au présidial de Rouergue, il s'accorde pour lui et au nom de ses frères et sœurs avec Guillaume et autre Guillaume GOUDAL, père et fils, de La Garde, paroisse de Cadeyrac, ses cousins, au sujet de la division des biens ayant appartenu à feu Guillaume GOUDAL, leur aïeul et à Me Guillaume GOUDAL bachelier ès droits, son père, faite entre ledit Me Guillaume GOUDAL et Antoine GOUDAL, son frère et père dudit Guillaume GOUDAL vieux, selon instrument de ladite division reçu par Me Raymond Cazalis, notaire de Marcillac, le 7 novembre
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1530. L'objet de ce nouvel accord concerne la seigneurie et métairie des Fons advenues audit Antoine GOUDAL sauf certaines pièces acquises par ledit Me Guillaume GOUDAL. Il est convenu que lesdits Guillaume GOUDAL, père et fils, de La Garde, demeureront seigneurs directs de ladite métairie y compris de la terre de La Parra située au district des Fons Sive de Boldres pour laquelle ledit Pierre GOUDAL fera reconnaissance auxdits Guillaume GOUDAL, par contre ledit Pierre GOUDAL demeurera seigneur direct de la pièce de bois dite de Pédonde aux mêmes lieux.
Enfin, le 15 novembre 1595, devant François Gouzin, notaire de Rodelle, Pierre GOUDAL rachète à MC Jacques CAYRON, conseiller du roi, tout le fonds de terres, maisons et autres possessions que ce dernier tenait au village de La Goudalie. Après cet acte on peut dire que Pierre GOUDAL pouvait disposer à nouveau en pleine propriété de l'entier domaine de La Goudalie tel qu'il avait été laissé par son père Me Guillaume GOUDAL.
Pierre GOUDAL épousa en premières noces, probablement en 1579, noble Hélène GAFFUER, fille de noble Jean GAFFUER, marchand de Ceyrac et d'Antoinette de NADAL. Le 7 juillet 1579, devant Antoine Coudere, notaire de Ceyrac, les mariés firent reconnaissance à noble Pierre GAFFUER, de Ceyrac, leur frère et beau-frère pour le premier paiement de la dot d'Hélène GAFFUER prévu au contrat reçu par Bonenfan, notaire de Bozouls (E 998). Les mariés donnèrent encore quittance audit noble Pierre GAFFUER, le 16 juin 1586 devant le même notaire (E 1003).
Pierre GOUDAL épousa en secondes noces Lucie de VIGUIER, veuve de feu noble Pierre de CRESPON. Le fonds 100 J de la Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron conserve deux copies tardives du contrat de mariage reçu le 10 janvier 1580 par François Gouzin, notaire de Rodelle. Sur l'une de ces copies noble Pierre de GOUDAL est désigné comme fils de feu noble Guillaume GOUDAL et de noble Catherine de MARTRIN ; cette dernière n'est pas mentionnée sur la seconde copie.
Ces documents sont incontestablement des faux établis comme le faux testament de Guillaume GOUDAL, en 1699, pour obtenir l'annulation de la condamnation de noble Jean GOUDAL pour usurpation de la qualité de noble.
Tous les généalogistes ont retenu le 10 janvier 1580 comme étant la date du contrat de mariage entre Pierre GOUDAL et Lucie de VIGUIER, or cette date, élément essentiel du contrat, est erronée. En effet, non seulement il est bien établi qu'Hélène GAFFUER, première épouse de Pierre GOUDAL était encore vivante en 1586, mais également le premier mariage de Lucie de VIGUIER avec noble Pierre de CRESPON, habitant de Valence d'Albigeois, ne fut contracté que le 28 août 1589 devant Thomas Bastier, notaire de Belmont, comme il résulte dudit contrat figurant au registre des insinuations de Villefranche 1588/1590 (série B).
Lucie de VIGUIER ayant eu une fille, Jeanne, de son premier mariage, le mariage avec Pierre GOUDAL n'a pu intervenir avant 1590. Lucie de VIGUIER était fille de François VIGUIER, habitant de son vivant à Saint-Gervais, en Languedoc et de Catherine de PASTOREL.
Sur un acte du 28 octobre 1596 reçu par Jean Guirbal, notaire de Salles-Comtaux (3 E 2056) sire Pierre GOUDAL de La Goudalie, intervenant comme arbitre pour Pierre PONS, de Maymac, est désigné en qualité de vice-sénéchal de Rouergue. Il est encore désigné en cette qualité sur une quittance faite en sa faveur par François ASTORG, marchand de Salles-Comtaux, le 25 février 1601 (3 E 2058).
Le 21 décembre 1601, devant Fabry, notaire de Laissac (3 E 2032), Pierre GOUDAL rachète à Catherine AYRAL, veuve de Jean GOUDAL, sa belle-sœur, une terre qu'elle avait acquise de son mari, aux appartenances de La Goudalie. Cet acte marque probablement la fin de la récupération des biens aliénés par Jean GOUDAL.
Le 3 novembre 1608, messire Pierre de GOUDAL, sieur de La Goudalie, rend hommage et reconnaissance et prête serment de fidélité au roi par les mains de messire François de CORNEILLAN, évêque de Rodez et conseiller du roi en ses conseils et messire François de THOLET, baron de Tholet et de Castelnau, sénéchal et gouverneur de Rouergue, pour son château, forteresse et maisons de La Goudalie, jardins, étables, granges, basse-cour, pigeonnier, le tout sis dans les paroisses de Muret et de Lagnac, dans la châtellenie de Rodelle, dépendante de la comté de Rodez, ledit château et forteresse un peu séparés du reste des maisons, composés d'un corps de logis avec une tour machicoulée d'un coin et une tour à vis et deux gabions machicoulés faits en pierres de taille...
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Ce document où figure le dénombrement de toutes les propriétés de Pierre de GOUDAL attribue pour la première fois la qualité de noble au constituant : noble Pierre de GOUDAL, sieur de La Goudalie et de Querbes (Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron - 100 J).
Le I er mai 1610, devant Pierre Delpuech, notaire de Villefranche (3 E 2715) Pierre de GOUDAL et Lucie de VIGUIER s'accordent sur les droits de feue Jeanne de CRESPON, fille de noble Pierre de CRESPON et de ladite Lucie de VIGUIER, avec noble Antoine de CRESPON, oncle de Jeanne, sur l'hérédité de feu Guillaume de CRESPON, aïeul de Jeanne.
Jeanne de CRESPON avait été mariée, par contrat du 28 mai 1607 reçu par François Gouzin, notaire de Rodelle, à Amans LAGARDE, du village de La Garde, paroisse de Cadeyrac, fils d'autre Amans et de Suzanne de LABRO, mais il ne semble pas que ce mariage ait été confirmé devant l'église, en tout cas il n'est pas mentionné sur les registres paroissiaux de Muret qui par contre, la même année 1607 (juillet ou août), mentionnent le décès de la jeune Jeanne de CRESPON, ensevelie dans la chapelle de SaintBlaise, en l'église de Muret (la chapelle des GOUDAL), en présence de François de CORNEILLAN, évêque de Rodez.
En 1612, devant Gouzin, notaire de Rodelle (3 E 12986), Pierre de GOUDAL, seigneur de Querbes, fit l'acquisition de la seigneurie de La Garrigue, autrement dite de Rodelle, avec ses dépendances de Bezonnes, Barriac, Verayrettes, Saint-Julien et autres lieux appartenant à noble Bernardin de BESSUEJOULS de ROQUELAURE, pour le prix de 3 900 livres.
L'année suivante 1613, il fit reconnaissance au roi pour tous les biens qu'il possédait dans le mandement de Rodelle (C 1485).
Pierre de GOUDAL testa le 14 février 1616 devant Géraud Vazeilhes, notaire de Villefranche. La Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron conserve deux copies de ce testament (fonds 100 J) : une qui fait mention des parents du testateur, Guillaume de GOUDAL et Catherine de MARTRIN et qui complète la panoplie des faux documents dont nous avons déjà parlé, l'autre qui nous semble conforme à l'acte original, quasiment identique à la première sur les clauses du testament mais sans l'identité des parents du testateur.
Pierre de GOUDAL demanda à être enseveli dans la chapelle Saint-Blaise de l'église de Muret, consentit des legs aux neufs enfants de ses deux mariages et désigna Lucie de VIGUIER, sa femme, comme son héritière universelle.
Lucie de VIGUIER testera beaucoup plus tard au château du Puech, paroisse de Villecomtal, le 16 mars 1639, devant François Auzoy, notaire de Villecomtal (Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron - 3 E 23 Ibis) désignant son héritier universel, Pierre de GOUDAL, sieur de Recoules, son fils aîné, faisant des legs à ses enfants survivants : Antoine, sieur de La Garrigue, Jacques, sieur de La Pradelle, Jean, Françoise et Anne et à ses deux belles-filles Françoise de MARTRIN, femme de Pierre, et Marguerite de PRUINES, femme d'Antoine.
Pierre de GOUDAL décéda le 18 avril 1616 (R.P. de Muret), âgé d'environ 70 ans. D'où : du premier lit :
- Antoinette, mariée, par contrat du 23 mai 1602 reçu par Trédolat, notaire de Rodelle, à Antoine
DALMAYRAC, rentier de la métairie des Ondes, fils d'autre Antoine et de Catherine ROMIEU (reconnaissance dotale des mariés à Pierre de GOUDAL, du 18 avril 1634 (Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron - 3 E 231 bis). Antoinette fut désignée héritière universelle de son oncle Jean GAFFUER, bourgeois, de Ceyrac, par testament de ce dernier du I l avril 1616 reçu par Antoine Coudere, notaire de Ceyrac (E 1048) ; dans cet acte Jean GAFFUER consentit des legs à Pierre de GOUDAL son beau-frère et à Hélène GOUDAL, son autre nièce. Antoinette GOUDAL était encore vivante lors du testament d'Antoine DALMAYRAC, son mari, dont elle fut l'héritière universelle, du 24 août 1638, reçu par Bernard Layrac, notaire de Muret (3 E 10773).
- Hélène, mariée avant 1616 (testament de Jean GAFFUER du 11 avril 1616), à Guillaume FABRY, d'Ayrinhac. Elle fit reconnaissance à son frère Pierre de GOUDAL étant alors veuve, le 3 août 1625, devant Pons, notaire de Laissac (3 E 2099).
du second lit :
Pierre, qui suit,
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- Antoine, sieur de La Garrigue, auteur de la branche des seigneurs du Puech de Villecomtal, qui suivra,
- Jean, dont on sait seulement qu'il était encore vivant lors du testament de Lucie de VIGUIER, sa mère, le 16 mars 1639.
- Jacques, sieur de La Pradelle, auteur de la branche des seigneurs de Curlande, puis de La Roquette, qui suivra,
- Antoinette, décédée ab intestat, avant 1635 comme il ressort d'un accord entre Pierre et
Antoine de GOUDAL, ses frères, du 21 mai 1635, devant Bernard Layrac notaire de Muret (3 E 10772),
- Anne, mariée, par contrat du 24 mai 1626 reçu par François Gouzin notaire de Rodelle, à Etienne MICHEL, bourgeois, de Saint-Gervais, au diocèse de Castres (reconnaissance dotale du 9 juin 1631, reçue par Etienne Anduze notaire de Saint-Gervais (Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron - 3 E 231 bis).
- Françoise, mariée, par contrat du 25 janvier 1615 reçu par François Gouzin, à Me Bernard DUSOLIER (ou SOLERY) notaire de Muret, fils à Me Jean DUSOLIER notaire de Muret et à Lucie d'ARRIBAT (accord entre Françoise et Pierre de GOUDAL, son frère, du 29 juin 1643, reçu par Bernard Layrac notaire de Muret - 3 E 10774). Françoise de GOUDAL avait testé le 13 février 1643 devant Bernard Layrac (3E 10774) en présence de ses frères Pierre et Jacques de GOUDAL ; elle décéda à Muret le 10 décembre 1643 (R.P. de Muret). (À suivre)
Fin de la première partie, la seconde partie de cette généalogie paraîtra dans le prochain numéro du BCGR (n.115, janvier 2021).
Émile Méjane, Jacques Poulet, François Puech (t)
Église de Muret-le Château, retable du chœur - Ph J. Rossignol

    Etablissement ou personne dépositaire de l'information :
    Nom : Cercle Généalogique du Rouergue
    Adresse : 25 avenue Victor Hugo
12000 RODEZ
          Numéro d'identification : Bulletin 114
                Support des données stockées : Other
    Note :
Cercle Généalogique du Rouergue
https://genealogie-rouergue.org/
Adresse :
25 avenue Victor Hugo
12000 RODEZ
Courriel : cgr@genealogie-rouergue.org
Site : https://genealogie-rouergue.org

                Degré de confiance à accorder à l'information : 3
    Note :
Flore BESOMBES, fille dudit Jean BESOMBES (3 E 12985). Cette famille BESOMBES semble pouvoir être rattachée à la famille de même nom qui donna son nom au moulin de La Besombie, sur la paroisse de Muret.
https://genealogie-rouergue.org/
    Nom : BESOMBES
          Prénom : Jean
          Prénom : Jean
          Nom de famille : BESOMBES
          Texte qui apparait après le nom : Besombes
    Informations de famille :
          avec CANAC Madeleine (133635) (1340) :
                Mariage :
                      Source :
    Degré de confiance à accorder à l'information : 2
    Titre : Arbre généalogique
    Abréviation : 2537-Informations de Nicole François [francoisjaco@aol.com]
    Type :
    Etablissement ou personne dépositaire de l'information :
    Nom : http://www.geneanet.org/profil/nicole4/Nicole-Francois
          Numéro d'identification : Cousin
                Support des données stockées : Internet
    Note :
Nicole FRANCOIS (nicole4)
http://www.geneanet.org/profil/nicole4/Nicole-Francois
francoisjaco@aol.com
                            Degré de confiance à accorder à l'information : 3
                      Source :
    Degré de confiance à accorder à l'information : 2
    Titre : Arbre généalogique
    Abréviation : 2565-Informations de Gérard Fournier [gerardetjocelyne@hotmail.fr]
    Type :
    Etablissement ou personne dépositaire de l'information :
    Nom : http://www.geneanet.org/profil/gerardfournier1/Gerard-Fournier
          Numéro d'identification : sans
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Gérard FOURNIER (gerardfournier1)
http://www.geneanet.org/profil/gerardfournier1/Gerard-Fournier
gerardetjocelyne@hotmail.fr
537 boulevard des Myrtes la Maison Blanche
83700 ST RAPHAEL - France
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                Enfant :
                   BESOMBES Flore (66817) (1370)

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